Entrevue avec Robert Brouillette (pubs Nintendo au Québec)
Sarah Szefer et moi avons eu la chance de rencontrer le comédien Robert Brouillette en avril 2014, qui a eu la gentillesse de répondre à nos questions lors d’une entrevue au Manga-Thé, à Montréal. Il a participé à trois publicités originales de Nintendo durant les années 1990.
Il a révélé certains détails étonnants durant notre rencontre. Par exemple, avant le tournage, il nous a informés que c’était lui qui jouait lors des séquences de jeu vidéo montrées à l’écran. Aussi, ces trois pubs (y compris celle de Zelda avec l’autobus et celle de Wario Land) ont été tournées en studio.
Voici quelques autres faits intéressants :
– Il s’agit d’une des très rares campagnes de publicités de jeux vidéo tournées pour le marché québécois avec un acteur local devant la caméra au lieu d’opter pour le doublage de publicités américaines. La seule autre campagne québécoise, à notre connaissance, est celle d’Intellivision avec Yves Létourneau, dans une adaptation locale des publicités classiques mettant en vedette George Plimpton.
– Comparativement aux publicités américaines, les trois pubs de Robert Brouillette sont moins agressives, même si elles visaient néanmoins un public adolescent et branché.
Il a révélé certains détails étonnants durant notre rencontre. Par exemple, avant le tournage, il nous a informés que c’était lui qui jouait lors des séquences de jeu vidéo montrées à l’écran. Aussi, ces trois pubs (y compris celle de Zelda avec l’autobus et celle de Wario Land) ont été tournées en studio.
Voici quelques autres faits intéressants :
– Il s’agit d’une des très rares campagnes de publicités de jeux vidéo tournées pour le marché québécois avec un acteur local devant la caméra au lieu d’opter pour le doublage de publicités américaines. La seule autre campagne québécoise, à notre connaissance, est celle d’Intellivision avec Yves Létourneau, dans une adaptation locale des publicités classiques mettant en vedette George Plimpton.
– Comparativement aux publicités américaines, les trois pubs de Robert Brouillette sont moins agressives, même si elles visaient néanmoins un public adolescent et branché.
