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La TSF - Trame Sonore de Films

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Qui ne se souvient pas des sketchs de post-synchronisation des Bleu Poudre dans 100 Limite et Taquinons la planète? Pourtant, un autre collectif québécois, la TSF (pour « trame sonore de films), faisait de même avant eux, plus précisément en direct sur scène, à partir de séquences de films et d'émissions de télévision qu'elle possédait. Le groupe a produit deux spectacles, Les Poubelles Dolly Would et L'Affreuse télévision, qui ont connu un certain succès dans les années 1980, notamment grâce à un passage remarqué à l'émission Jasmin Centre-ville, animée par Michel Jasmin sur les ondes de TQS en 1987. En plus des comédiens-doubleurs, la TSF comprenait son propre musicien-bruiteur, Louis-Maxime Dubois, qui nous a gentiment accordé une entrevue à la caméra sur la genèse de la TSF. M. Dubois, qui est formé comme musicien classique, a aussi participé à l'opéra Aida (dont une prestation en Australie!) et est aussi connu pour ses accompagnement de films muets au pian

Lettre de présentation pour le magazine Nintendo Power

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Un an après le lancement de Nintendo Power aux États-Unis en 1988, c'était au tour du Canada d'y avoir accès. Grâce à la lettre bilingue ci-dessous (traduite dans un français nettement meilleur que pour Flash Puissance), envoyée aux abonnés du bulletin Flash Puissance publié par Mattel, nous avons maintenant plus de détails sur les débuts canadiens de Nintendo Power. Ainsi, le premier numéro disponible (envoyé gratuitement aux abonnés de Flash Puissance) était le numéro 7 (juillet-août 1989), sur Mega Man 2, avec en prime le guide de Super Mario 2 en format magazine. Étrangement, alors que ce numéro de Nintendo Power se trouve assez facilement, le guide de Super Mario 2 est beaucoup moins courant. Flash Puissance continuera d'être publié pendant encore un an, jusqu'à l'automne 1990. Cette fin de publication correspond à la célèbre offre d'exemplaire gratuit de Dragon Warrior sur NES avec tout abonnement au Nintendo Power. La fin de la publication de Flash

Boîtes de céréales - promos jeux vidéo au Canada

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Les fabricants de céréales ont longtemps reflété les tendances chez les jeunes, en leur offrant des primes et des concours alléchants, tout en assurant leur fidélité. Nous avons pu mettre la main sur des boîtes de céréales canadiennes allant de 1989 à 2000, portant sur Nintendo et Sega. 1. Cheerios au miel et aux noix (1989) - Autocollants de Nintendo Il s'agissait d'autocollants d'assez bonne qualité, à peu près équivalente aux autocollants des cartes à collectionner de Nintendo mises sur le marché par Topps à la même époque. À noter: Pour participer au concours, qui donnait la chance de gagner un ensemble NES avec télé et Power Glove, un Game Boy ou une NES avec Zapper, il fallait remplir un minuscule formulaire situé dans le bas du côté de la boîte. Pour un jeune, réussir à tout inscrire de manière lisible constituait un défi en soi! 2. Corn Pops (1994) - Autocollants de Nintendo à personnaliser En cette période de transition entre la NES et la SNES

Télé-jeux sur le câble au Québec

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Un grand merci à Daniel Faille, ainsi qu'à  Kevin Bourret ( Quebec Vintage Computer sur Facebook), sans qui ce projet ne serait pas allé si loin! Sarah et moi avons eu la chance d'interviewer au téléphone Daniel Faille, qui est derrière l'infrastructure qui a permis de diffuser des jeux vidéo à la télé depuis la fin des années 1970 jusqu'à la fin des années 1980. À la suite de la lecture d'un article de La Presse daté du 10 octobre 1979, nous avons pu retracer Daniel et le contacter. Il a répondu à nos questions dans le meilleur de ses connaissances, car il faut remonter à il y a près de 40 ans. Ce phénomène est encore gravé dans l'imaginaire des gens qui ont découvert ce système ou en ont fait l'expérience en accédant aux jeux sur une chaîne du câble au moyen d'un téléphone Touch-Tone. Musicien depuis l'adolescence, il a joué dans les bars pour gagner son argent de poche. Après de multiples tentatives de travail comme music

L'Adaptateur Videoclic

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L'adaptateur Videoclic était destiné pour le premier modèle de la télécommande Vidéoway qui aidait à jouer à des jeux d'adresse. Fabriqué au Canada, il était vendu séparément au coût de 5$ plus taxes chez Vidéotron. Autant qu'il aidait à l'ergonomie pour repérer plus facilement les touches directionnelles, autant qu'il rendait les boutons de F1 à F4 un peu plus raides.

Des records québécois en 1984 : Odyssey 2 et machines à boules.

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Dans le livre Records québécois nº1  publié en 1984 aux éditions Diane Pothier, deux records sont homologués dans le domaine du jeu vidéo et de la machine à boules. Anik De Luk (son prénom est mal épelé dans l'entrée), chanteuse et animatrice à la station de radio CKOI 96,9 FM à Montréal, a passé plus de 17 heures à jouer à la console Odyssey 2 de Magnavox, tandis que François Fecteau a passé plus de 72 heures à jouer aux machines à boules. Gageons que ces records ont été largement dépassés depuis! Oui, c'est bel et bien la chanteuse Nanette Workman qui joue à gauche!

Les cartouches pirates, un fléau de la NES au Canada

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En 1989-1990, le marché canadien des jeux vidéo comprenait un volet du marché noir : les cartouches pirates, importées de Taïwan et distribuées un peu partout dans les marchés aux puces, clubs vidéo et commerces indépendants du pays, sans oublier les vendeurs individuels qui faisaient appel aux petites annonces pour vendre leurs exemplaires. Puisque le prix d'un seul jeu neuf sur la console Nintendo frôlait les 70$ et 80$, accéder à plus de 30 jeux dans une même cartouche était une véritable aubaine. Il était donc facile de vendre des versions 110 jeux en 1 ou même des versions 260 en 1 à prix d'or. Cependant, plus il y avait de jeux sur la cartouche, plus il y avait des titres répétitifs qui se distinguaient l'un l'autre par des modifications pour en faire des variantes en ce qui a trait à la jouabilité. En plus de contenir les jeux déjà classiques de la NES comme Super Mario Bros. et Donkey Kong, ces cartouches permettaient aussi de découvrir des titres jamais